Un café, l’addition, s’il vous plaît! Oui, on a pu dire ça, hier “au bord du lac de Genève” (offrez Google Map aux journalistes français, par pitié) et on était heureux. Malheureusement, dans de nombreux pays, et certains de plus en plus proches de nous, on ne peut plus vraiment dire ce qu’on veut. Et en Chine on ne peut même plus regarder ce qu’on veut, parce qu’il ne faudrait pas que des méchants films occidentaux et un peu trop critiques viennent gâcher l’atmosphère “festive et chaleureuse” du centenaire du parti communiste...