l’impact d’images à caractère sexuel non appropriées pour leur âge et de moyens créatifs et originaux de réagir à ce type de messages.
Selon la sexologue et professeur à l’UQAM Francine Duquet, « nous assistons présentement à une banalisation et à une surenchère sexuelles, via certains médias notamment, et plusieurs s’inquiètent de l’impact possible auprès d’un jeune public. » Cette hypersexualisation joue souvent sur les stéréotypes afin d’amener filles et garçons à consommer divers produits (vêtements, musique, revues, etc.).