Pour sauver leur club après une violente fin de match où l’arbitre de la rencontre a été pris à partie, le doyen des joueurs suivi par son président et le trésorier du club ont entamé une grève de la faim afin que les sévères sanctions prises par la fédération soient revues. Denis Dupont revient sur cet article paru en 1975 dans les colonnes de L’Indépendant.