Avec la transparence de la blockchain, tout le monde peut retracer l'historique numérique d'une adresse. Cependant, même si la correspondance physique avec chaque adresse n'est pas toujours possible, l'augmentation des utilisations sur les blockchains publiques est de moins en moins compatible avec la protection de la vie privée.

Pour concilier au mieux transparence et vie privée, les protocoles de preuve à divulgation nulle de connaissance (KZP) semblent être la meilleure solution. Ainsi, les utilisateurs pourraient notamment prouver qu'ils détiennent un NFT sur une adresse sans divulguer l'adresse elle-même.

Cette fonctionnalité pourrait également être appliquée dans le cadre de programmes gouvernementaux, tels que l'interdiction des sites pornographiques, tout en préservant la vie privée des citoyens français ; par exemple, confirmer leur majorité sans dévoiler leur âge exact ni leur nom. Hadrien Charlanes de Sismo aborde ce sujet

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