Ça n’arrive pas souvent, mais cet épisode a eu une ribambelle de noms envisagés : “Pas une certitude, une conviction” “ Être intellectuellement charmant”, “Plus parisien que metalleux”, “Plus ça va, moins je me spécialise”, etc. Ce qui vous donne une idée du nombre de sujets évoqués avec l’invité du jour : Vincent Kreyder. 

 

Vincent est musicien professionnel, et plus précisément batteur, bien qu’il lui arrive d’explorer aussi la guitare et le banjo. Après avoir commencé sa carrière professionnelle très tôt, dès 15 ans, et avoir arpenté le monde dans des formations Metal et Goth, il s’est spécialisé depuis 4 ans dans la création contemporaine, et tout particulièrement les spectacles de danses. Ce qui lui a déjà permis de jouer dans des lieux prestigieux comme le centre Pompidou ou encore l’Opéra Bastille. 

 

Avec Vincent, on a évidemment parlé de la vie d’artiste, de son rapport à la création et au processus créatif, des moments de galère que ça implique et de l’importance d’avoir des soutiens fort pour réussir à les traverser. Via sa vision du rôle de l’artiste, on a également beaucoup parlé de ses convictions, comme l’importance de la transmission, ce que les hommes peuvent faire dans le combat féministe, et plus généralement du rôle des personnes en position d’oppresseur pour aider à faire avancer les luttes sociales. Et puis on a aussi parlé de Star Wars, du fan service, et de la merde que fait Disney, ou encore de l’importance qu’a, pour lui, le fait d’honorer ses morts. On a aussi sorti nos meilleures imitations de Nikos Aliagas et de Gordon Ramsay. Un épisode riche en somme.

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