Kaori signifie en japonais « tissu parfumé » : elle nous conte les liens noués et dénoués au gré des rencontres.Lorsque l’on écoute les chansons de Mathilde, elles s’accrochent à nos oreilles à la façon du murmure de la brise printanière d’un cerisier en fleurs.
Virtuose de la guitare classique, on se hisse sur la pointe des pieds pour cueillir le fruit rond de ses notes, qu’on imagine issues d’un prélude de Jean-Sébastien Bach.